A la veille du bac de français, il est l'heure de préparer l’écrit de cette matière. Afin d’émouvoir plus encore le destinataire, les deux seuls accessoires placés dans le cadre sont géants : le balai est deux fois plus grand que Cosette et le seau, colossal et rempli d’eau, ne semble pas pouvoir être porté. L'étrangeté est un univers différent, non familier, plus de repère, le personnage se sent autre, étranger à lui-même. Pour rendre cette dénonciation plus forte, il décrit cette scène avec plus de réalisme. Dans l'éclipsé, dans la nuit, dans l'opacité fuligineuse (1) il y a de l'anxiété, même pour les plus forts. Cette pénétration des ténèbres est inexprimablement sinistre dans un enfant. Elle eût bien voulu repartir tout de suite ; mais l’effort de remplir le seau avait été tel qu’il lui fut impossible de faire un pas. L'enfant n'eut pas peur. Car il est des choses qui font ouvrir les yeux aux mortes dans leur tombeau. Personnage énergique et ayant un grand coeur ; de ses mains sort le bien. Une main, qui lui parut énorme, venait de saisir l'anse et la soulevait vigoureusement. On a une transposition de la religion dans l'univers magique des contes pour enfants. Elle frissonnait. Son nom est devenu synonyme d'enfant maltraité, exploité par des adultes, notamment pour les tâches domestiques. Elle saisit l'anse à deux mains. Elle respira un instant, puis elle enleva l'anse de nouveau, et se remit à marcher, cette fois un peu plus longtemps. A travers ce passage on a une dénonciation de la maltraitance des enfants. Des petits détails touchants vont souligner l'attendrissement mais avec pudeur : "les sanglots lui serraient la gorge, mais elle n'osait pas pleurer". © Copyright 2003-10 Devoir-de-philosophie.com. Elle croyait sentir qu'elle ne pourrait peut-être pas s'empêcher de revenir là à la même heure le lendemain. Au lieu d'aider les enfants, les hommes les exploitent. Une fillette soulevant à deux mains un seau plein d’eau, tandis que «le tragique masque de l’ombre semblait se pencher vaguement sur cet enfant» : Cosette. Son regard tomba sur le seau qui était devant elle. Comparaison avec la rencontre de Momo et Nadine. Madame Rosa est une représentation grotesque, burlesque de Fantine, sans dents, sans cheveux, la prostituée qui vend son corps pour son enfant. Si vous le faites chaque années vous pouvez modifier le circuit pour vous simplifier la vie.. Il suffit de couper le tuyau entre la prise d’eau et le filtre et de mettre un « Y » . On est dans un entre-deux trouble entre le réalisme et l'imaginaire ; l'imaginaire rentre dans le réalisme. Nul ne marche seul la nuit dans la forêt sans tremblement... On éprouve quelque chose de hideux comme si l'âme s'amalgamait à l'ombre. Son regard tomba sur le seau qui était devant elle. Cette scène fonctionne un peu comme un conte pour enfants. Il est décédé l'an dernier à 34 ans. Elle désigne d'autre part l'âme, l'être immatériel qui constitue notre intériorité, notre personnalité. Le personnage de Cosette a sûrement inspiré le personnage de Momo pour Gary ; Momo fuit l'A.P., tout comme Cosette fuit les Thénardier ; les deux enfants cherchent tous les deux quelqu'un à aimer. Tournesol:. Pornographie enfantine - Choisir - L'homme, qui avait à peine trempé ses lèvres dans le verre de vin qu'il s'était versé, considérait l'enfant avec une attention étrange. Cet homme, sans dire un mot, avait empoigné l'anse du seau qu'elle portait. Paru en 1862 ce roman est l'une des oeuvres les plus populaires de la littérature française et il a donné lieu à de nombreuses adaptations au cinéma. L'âme est comparée implicitement à un oiseau : cette image poétique confère un caractère angélique : la grâce. C'est au moment où elle l'appelle que Dieu, grâce à J. Valjean, intervient ; la simple fois explique le miracle (sublime). Les forêts sont des apocalypses ; et le battement d'ailes d'une petite âme fait un bruit d'agonie sous leur voûte monstrueuse. Il faut à l'homme de la clarté. Les anaphores rythment également cette course effrénée ("jusqu'au" x3). Cette pénétration des ténèbres est inexprimablement sinistre dans un enfant. C'était un homme qui était arrivé derrière elle et qu'elle n'avait pas entendu venir. L'enfant regardait d'un œil égaré cette grosse étoile qu'elle ne connaissait pas et qui lui faisait peur. Hugo joue aussi sur les contrastes. L'attendrissement se voit dès le début avec la métaphore des battements d'ailes pour le coeur de Cosette. Le narrateur et J. Valjean sont des intermédiaires de Dieu et l'intervention de J. Valjean prouve qu'Hugo a confiance en les hommes car il croit au progrès. Hugo dramatise la situation en mettant en valeur la pitié pour intensifier l'angoisse d'où une redondance pathétique. Cosette est dans un état inquiétant, cela réveille son inconscient : "sans se rendre compte de ce qu'elle éprouvait" ; c'est son état qui l'effraie et pas la forêt, angoisse intériorisée. » Rousseau, Sur l'origine de l'inégalité, 1755. Elle soufflait avec une sorte de râlement douloureux ; des sanglots lui serraient la gorge, mais elle n'osait pas pleurer, tant elle avait peur de la Thénardier, même loin. DESCARTES: obéir aux lois et aux coutumes de mon pays. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Elle respira un instant, puis elle enleva l'anse de nouveau, et se remit à marcher, cette … Cela casse tout le sérieux, le religieux de la scène qui s'achève avant la scène de la drogue. Cosette est comme le Christ, une victime sacrificielle. Le marchand qui avait demandé le seau d’eau était allé lui-même le porter à son cheval. Recherche . Il n'y avait que Dieu en ce moment qui voyait cette chose triste. La réaction de Cosette est un désir de fuite de cette fascination morbide ; elle est possédée. Les répétitions mettent également l'attendrissement en valeur ainsi que l'absence de mots de liaison (parataxe). souligne le verbe en rouge, donne son infinitif, entoure le sujet en bleu et le groupe déplaçable et forêt. On a l'ambiance des contes de Grimm (B-N), c'est l'angoisse qui transfigure le réel : "les forêts sont des apocalypses", "une énormité vue de la nature" ; la nature est agressive. Cosette est symbolique alors que Momo est réaliste. Par essence, la victime sacrificielle sera toujours la plus faible. L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn). Elle avait beau diminuer la durée des stations et marcher entre chaque le plus longtemps possible, elle pensait avec angoisse qu'il lui faudrait plus d'une heure pour retourner ainsi à Montfermeil et que la Thénardier la battrait. Afin d’émouvoir plus encore le destinataire, les deux seuls accessoires placés dans le cadre sont géants : le balai est deux fois plus grand que Cosette et le seau, colossal et rempli d’eau, ne semble pas pouvoir être porté. Quand l'œil voit noir, l'esprit voit trouble. L'obscurité est vertigineuse. Le terme "hélas" est un cri du coeur du narrateur impuissant devant la violence de la scène alors que "bien" est une expression populaire et naïve pour augmenter la proximité avec le personnage. Dans l'éclipsé, dans la nuit, dans l'opacité fuligineuse (1) il y a de l'anxiété, même pour les plus forts. Cosette est symbolique alors que Momo est réaliste. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre profonde étaient presque éteints à force d’avoir pleuré. A ce moment, elle a senti que le seau ne pesait plus rien. ... Littérature et autres variations autour de ce thème. Donc ce récit a une portée allégorique comme les paraboles de la bible. Hugo pointe du doigt un scandale : les hommes ne jouent pas leur rôle naturel assigné par Dieu, à savoir protéger les enfants. Hugo trouve cela scandaleux de proférer des obscénités pareilles devant un enfant alors que Gary ne dénonce rien car les choses se font comme elles doivent se faire ; les obscénités sont dans la vie. Ici, Hugo dénonce l'indifférence générale : "Il y a des choses qui font ouvrir les yeux aux morts". LE SITE D'AIDE A LA DISSERTATION ET AU COMMENTAIRE DE TEXTE EN PHILOSOPHIE, Aperçu du corrigé : Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt. Cependant elle ne pouvait pas faire beaucoup de chemin de la sorte, et elle allait bien lentement. Le psychanalyste Freud a initié ce concept au début du XXème siècle en s'appuyant sur des textes d'époque. Elle saisit l'anse à deux mains. D'ailleurs le parcours de Cosette évoque le chemin de croix de Jésus-Christ ; Jésus s'est fait ressuscité et Cosette a été sauvée. Il faut à l'homme de la clarté. Victor Hugo fait ressentir la crise panique qui saisit Cosette : "s'enfuir, s'enfuir" est une répétition qui imite l'affolement ; on a une accumulation, une gradation, le rythme s'emballe comme son coeur. Sa grossesse terminée, Cosette, une jeune fille, naît. Au dessus de sa tête, le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient comme des pans de fumée. Cosette … Hugo multiplie ces détails pour en augmenter le martyre de Cosette. L'intensité augmente et imite la fuite éperdue de Cosette. ... Les expression "petite âme" et "voûte monstrueuse" sont des antithèses qui expriment la fragilité de Cosette et … Cependant le pauvre petit être désespéré ne put s'empêcher de s'écrier : Ô mon Dieu ! Les expressions manquent pour dire ce qu'avait d'étrange ce frisson qui la glaçait jusqu'au fond du coeur. L'omniscience de l'enfant nous plonge dans l'univers de la terreur enfantine ; beaucoup d'empathie, la réalité de l'enfant est transformée en un cauchemar. [Amorce et présentation du texte] Parmi tous les personnages « misérables » peints par Hugo, ce sont surtout les enfants qui suscitent sa bienveillance et sa pitié : Gavroche, mais aussi Cosette, âgée de huit ans, qu’il décrit alors que ses tuteurs, les Thénardier, l’ont envoyée en pleine nuit dans la forêt voisine pour remplir un seau d’eau. Malaise fait d'un sentiment d'inquiétude relative à un avenir incertain et au sentiment de notre situation de mortel. Va en puiser à la source. *En ce soir de Noël, Mme Thénardier dit à Cosette : « Il n’y a plus d’eau ! Mais, dans tous ces cas, la transposition était totale : Valjean aussi, Cosette aussi étaient égyptiens, indiens ou japonais. Anna de Noailles, Le Coeur ... Jean-Jacques Rousseau: Le progrès technique est-il cause de décadence morale ? Nul ne marche seul la nuit dans la forêt sans tremblement... On éprouve quelque chose de hideux comme si l'âme s'amalgamait à l'ombre. Dans ce passage avec la main de Jean Valjean, Hugo nous raconte le miracle chrétien. Elle désigne d'une part l'intellect, la raison, la pensée. Elle était harassée de fatigue et n'était pas encore sortie de la forêt. La brume, lugubrement empourprée, élargissait l'astre. Au dessus de sa tête, le ciel était couvert de vastes nuages noirs qui étaient…. Victor Hugo restitue le point de vue de l'enfant qui perd facilement une perception réaliste des choses et qui n'arrive pas à dominer son angoisse. L'âme de l'enfant est percé à jour : "jusqu'au fond du coeur". Roger Caillois, Une nuit dans la forêt. C'était son habitude de se figurer toujours que la Thénardier était là. village - arrive – Cosette – à la source – enfin – dans le bois – et – plonge - elle – dans l’eau – son seau. Le marchand qui avait demandé le seau d’eau était allé lui-même le porter à son cheval. Cosette saisit l'anse à deux mains. Transpose à la première personne du singulier De tous côtés il y avait des étendues lugubres. Tel était l'effroi que lui inspirait la Thénardier qu'elle n'osa pas s'enfuir sans le seau d'eau. En détruisant le travail des enfants, ils détruisent le travail de Dieu : cela revient à placer un ange en enter "battements d'ailes [...] sous leur voûte monstrueuse" ; comparaison entre la société du XVIIème siècle et la société antique. « Dès l'instant qu'un homme eut besoin du secours d'un autre [...], l'égalité disparut, la propriété s'introduisit, le travail devint nécessaire, et les vastes forêts se changèrent en des campagnes riantes qu'il fallut arroser de la sueur des hommes, et dans lesquelles on vit bientôt l'esclavage et la misère germer et croître avec les moissons. En ce moment, elle sentit tout à coup que le seau ne pesait plus rien. Cela casse tout le sérieux, le religieux de la scène qui s'achève avant la scène de la drogue. Apologie de crimes contre l'humanité demandé le seau d'eau était allé lui-même le porter à son cheval. Contact Rechercher. Javert a par le passé été incarné par des acteurs de toutes les couleurs, puisqu’il y a eu des versions égyptiennes, indiennes, japonaises des Misérables. Elle fit ainsi une douzaine de pas, mais le seau était plein, il était lourd, elle fut forcée de le reposer à … Hugo nous fait partager ses moindres mouvements. La forêt est une prison alors que l'apocalypse renvoie à une idée de destruction. Elle avait près de huit ans, on lui en eût donné à peine six. Cosette avait repris sa place sous la table de cuisine et son tricot. Elle marchait penchée en avant, la tête baissée, comme une vieille ; le poids du seau tendait et raidissait ses bras maigres ; l'anse de fer achevait d'engourdir et de geler ses petites mains mouillées ; de temps en temps elle était forcée de s'arrêter, et chaque fois qu'elle s'arrêtait l'eau froide qui débordait du seau tombait sur ses jambes nues. Cela permet de donner une portée générale au texte, cela donne à deviner au lecteur que le récit va être miné dans un point de vue religieux. Cosette leva les yeux, elle avait vu venir l’homme à elle avec cette poupée comme elle eût vu venir le soleil, elle entendit ces paroles inouïes : c’est pour toi, elle le regarda, elle regarda la poupée, puis elle recula lentement, et s’alla cacher tout au fond sous la table dans le coin du mur. En allant acheter le pain, Sarah admire une superbe paire de chaussures dans une vitrine. Cosette s'enfuit emportant son seau et faisant les plus grands pas qu'elle pouvait. Victor Hugo : Elle �tait d�chauss�e, elle �tait d�coiff�e... Victor Hugo : Hernani : Acte I sc�ne 1 (Sc�ne d'exposition), Victor Hugo : Les Contemplations (V, 9) : Le mendiant, Victor Hugo : Les Contemplations : Tout vient et passe, Victor Hugo : Les Mis�rables : Partie II : Chapitre 10 : Le plateau de Mont Saint-Jean, Victor Hugo : Les Rayons et les Ombres : La Fonction du po�te, Victor Hugo : Les Travailleurs de la mer : La pieuvre, Victor Hugo : Les voix int�rieures : Une nuit qu'on entendait la mer sans la voir, Victor Hugo : O jeunes gens ! On a des métaphores qui transfigurent la réalité, les vérités générales pour comprendre la psychologie. Elle eut de la peine à soulever le seau. Vous rebrancher le tuyau sur une des branches du « Y » et sur l’autre branche vous mettez une vanne et un bout de tuyau d’environ un mètre. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. L'axe est donné, je dois montrer comment l'auteur transforme la marche en forêt en une entrée dans un monde terrifiant. Elle retira le seau presque plein et le posa sur l’herbe. Cet épisode est raconté comme un conte de Noël. On garde de l'univers chrétien uniquement le caractère miraculeux. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies : quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec épouvante devant quelque chose qui arrivait. Près d'un châtaignier, elle a fait encore une halte puis a repris le seau. Dessins et photographies. Tu étais dans le bois, tu avais bien peur ; te rappelles-tu quand j’ai pris l’anse du seau d’eau ? Une parabole a un sens moral dans la bible, c'est au lecteur d'interpréter. C'est un auteur combatif et militant, un écrivain engagé. Le sublime est comme un miracle divin parce qu'on est dans un contexte réaliste et il y a une intervention divine très inattendue, c'est plus beau que la beauté ; face au sublime, c'est la stupeur, le silence. Présentation. On peut voir ainsi une symétrie entre le bagnard Jean Valjean et "Le Dernier jour d'un condamné" écrit quelques années plus tôt. Cosette n'a pas eu peur car elle a reconnu la grâce, le miracle, la main de Dieu (sublime). Néanmoins, la présente de lumière donne espoir à Cosette. Tel était l'effroi que lui inspirait la Thénardier qu'elle n'osa pas s'enfuir sans le seau d'eau. Parvenue près d'un vieux châtaignier qu'elle connaissait, elle fit une dernière halte plus longue que les autres pour se bien reposer, puis elle rassembla toutes ses forces, reprit le seau et se remit à marcher courageusement. Cosette avait repris sa place sous la table de cuisine et son tricot. Ce n'était plus seulement de la terreur qui la gagnait, c'était quelque chose de plus terrible même que la terreur. Les mains arrivent de façon inattendue car il s'agit de la main de Dieu : c'est la providence (miracle). » Cosette quitte l’auberge avec un seau, elle longe une rangée de boutiques. Or, ici, le temps et le … Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt. Tout être humain peut se reconnaître avec les paraboles. [u]Tout d'abord, voici l'extrait :[/u] [i] (Cosette, âgée de huit ans, a été envoyée de nuit remplir un seau d'eau à une source située en plein bois, loin de toute habitation.) Dans les moments où on est plus le plus vulnérable ressort ce qu'on déteste chez soi, les angoisses qui travaillent notre inconscient d'où l'inquiétude. "Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt", La distinction entre l'art et la technique. Les deux enfants sont dans un concept non adapté à leur âge : sexualité, obscénité. Cette scène est aussi une dénonciation, un avertissement car Dieu est témoin de toute action humain, l'oeil de Dieu est partout (cf. La scène de rencontre entre Nadine et Momo apparaît comme une parodie de la rencontre entre Cosette et Jean Valjean. Quiconque s'enfonce dans le contraire du jour se sent le cœur serré. La prostituée, c'est l'image de la femme qui se sacrifie pour les siens. *** 14 * CE2 ** CM1 *** CM2 CE2 m 1. Nouvelle édition Nouvelle édition. Une comparaison est possible avec "La Vie devant soi" même si tout ne se compare pas (Momo en Cosette, Madame Rosa en Jean Valjean). Et sans doute sa mère, hélas ! Puis un silence avant deuxieme temps , l. 15-21 a savoir le pas de mere , l. 22-28 atroce revelation puis silence , l29-42 : homme commence a elaborer sa strategie et enfin le dernier paragraphe est un commentaire du narrateur. La planète, en effet, était en ce moment très près de l'horizon et traversait une épaisse couche de brume qui lui donnait une rougeur horrible. Partir de soi, c’est ce qu’a entrepris Christophe DELESSART pour donner la parole sur scène à Valjean. Le sexe, au profit de la modernité, est beaucoup moins dénoncé ; l'important c'est la chaleur humaine, l'ambiance. Incitation é la haine raciale Elus ! La peur lui était revenue, une peur naturelle et insurmontable. Cosette et Marius tombèrent à genoux, éperdus, étouffés de larmes, chacun sur une des mains de Jean Valjean. Tel était l'effroi que lui inspirait la Thénardier qu'elle n'osa pas s'enfuir sans le seau d'eau. Un vent froid soufflait de la plaine. Hugo est le prophète et voit tout : "il n'y avait que Dieu qui voyait cette chose". Parfois le merveilleux et le miraculeux sont mis ensemble dans les contes de fées. Nadine est tout le contraire de J. Valjean mais pourtant Momo a peur d'elle mais c'est une peur réfléchie (pragmatique). Cosette ne la vit ni ne l’entendit tomber. La sérénité ne peut être atteinte que par un esprit désespéré. L’homme, qui avait à peine trempé ses lèvres dans le verre de vin qu’il s’était versé, considérait l’enfant avec une attention étrange. Momo est très avancé sur son âge. >> commentaires. L'obscurité est vertigineuse. 1 2 4 3 Seule dans la nuit *En ce soir de Nol, Mme Thénardier dit à Cosette : « Il n'y a plus d'eau ! Elle se leva. Il y a des mots simples, les plus généreux possibles, des phrases minimalistes donc il imite le style biblique. Sans se rendre compte de ce qu'elle éprouvait, Cosette se sentait saisir par cette énormité noire de la nature. Plus on est simple d'esprit plus on se rapproche de Dieu car la fois n'appelle pas à l'interprétation, à l'analyse. Cosette était maigre et blême. Elle saisit l'anse à deux mains. Il y a des accents de sincérité qui peuvent résonner de façon artificielle, à cause de leur trop plein sans doute comme le seau d’eau de Valjean et Cosette. Le sublime est le sentiment d'origine divine qui transcende tout, qui dépasse l'entendement. Dans la ... Une main énorme vient de saisir l’anse et soulève le seau vigoureusement. La notion d'esprit revêt plusieurs sens. Cosette (née à la fin de l'année 1815), surnom d'Euphrasie, est l'un des personnages du roman Les Misérables de 1862 de Victor Hugo. Cosette et le seau d'eau. Cosette avait repris sa place sous la table de cuisine et son tricot. Une grande forme noire, droite et debout, marchait auprès d'elle dans l'obscurité. Type d'abus : Cosette et Momo sont dans le même état de désespoir. On a une vision moderne de la prostitution dans "La Vie devant soi" tandis que dans "Les Misérables" on a une vision traditionnelle, biblique, de la prostituée déchue. Hugo dit même l'impossibilité de dire pour qu'on s'imagine le pire : "les expressions manquent pour dire". Ajouter un commentaire Tout est perverti, Momo propose même à Nadine d'être son proxénète. (raison de l'abus) : Corrigé de 1198 mots (soit 2 pages) directement accessible, Le corrigé du sujet "Victor Hugo, Les Misérables: Cosette dans la forêt" a obtenu la note de : aucune note, misérables: cosette nuit cette citation. Elle fit ainsi une douzaine de pas, mais le seau était plein, il était lourd, elle fut forcée de le reposer à terre. mon Dieu ! La voûte monstrueuse est l'enfer alors que les battements d'ailes représentent un ange. INTRODUCTION : Cosette est un personnage touchant des Misérables, le célèbre roman populaire de Victor Hugo, publié en 1862. Or ca correspond a l’age que Fantine lui avait donne. Tout à coup, le seau ne pèse plus rien. Cosette est un court-métrage réalisé par Bourobs Jacobson. Alors, par une sorte d'instinct, pour sortir de cet état singulier qu'elle ne comprenait pas, mais qui l'effrayait, elle se mit à compter à haute voix un, deux, trois, quatre, jusqu'à dix, et, quand elle eut fini, elle recommença. Jupiter se couchait dans les profondeurs. L'univers des misérables a donc une explication divine. Il s'agit d'ouvrir les yeux des lecteurs qui jusque là semblent fermés à la misère des enfants. Archives. Il est né le 26 février 1802 à Besançon, mort le 22 mai 1885 à Paris. On a un point de vue omniscient ; Hugo restitue aux lecteurs la perception d'un enfant avec beaucoup de détails. Atteinte aux droits d'auteur Forme une phrase avec les groupes de mots suivants : arrive – Cosette – à la source – enfin – dans le bois – et – plonge – elle – dans l’eau – son seau Dans les phrases suivantes, trouve le ou les compléments circonstanciels (s’il y en a), le groupe sujet, le groupe verbal. Au début du roman il croise Fantine, une jeune fille devenu prostituée après avoir dénié une grossesse produite avant le mariage.