Lisez ce Monde du Travail Fiche et plus de 247 000 autres dissertation. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Lire le mémoire complet ==> (Dans le cadre d’une stratégie ECR, le choix de l’externalisation logistique est il la solution optimale pour répondre aux besoins de la collaboration « industriels/distributeurs »?) L'entreprise appartient aux … En outre, elle permet de comprendre les formes de gouvernancedes transactions. La théorie des coûts de transaction est sans doute la plus aboutie car elle aborde les deux enjeux centraux de l’externalisation : La décision- Faut il ou ne faut il pas externaliser ? 3. Réseaux, vol 15, n° 84. le lien . La meilleure structure de gouvernance est celle qui permettra de minimiser la somme des coûts de production et de transaction. Do NOT follow this link or you will be banned from the site. Avec les TIC, vers plus d’externalisation ? Les déterminants des coûts de transactions, par le marché ou par la firme. Prenons le cas d'entreprises cotées. L’externalisation avec contrat néoclassique : A priori, le niveau de spécificité des actifs de ce type de contrat est assez élevé et suggère que les coûts de production d’une activité en interne sont de ceux des fournisseurs. Grâce à ce concept, la théorie des coûts de transaction est en mesure de rendre compte de l'existence de la firme dans une économie de marché. 54,50 € Livre numérique. Le choix entre l’internalisation et le contrat relationnel se portera essentiellement sur le critère de la fréquence. Les coûts de production de l’activité externalisée sont proches de l’activité internalisé. Les contrats relationnels. Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Coriat et Weinstein 2010). L’accent est également mis sur les documents formels. Trois attributs sont utilisés par Williamson : la spécificité des actifs, l’incertitude et la fréquence. (cf schéma I3) Les justifications de la firme trouvent leur origine dans le souci de s'écarter le moins possible de l'optimum néo-classique, de ne pas perdre de valeur du fait des coûts de transaction ou d'agence, de l'imperfection des droits de propriété, mal délimités, insuffisamment protégés ou difficilement transférables. La connaissance, si elle est spécifique et utile à la prise de décision, constitue un élément essentiel de la performance organisationnelle. La théorie des coûts de transaction Avant de parler de la théorie, il est nécessaire de faire un point sur ce que sont les coûts de transaction. Ces coûts concernent aussi ceux engendrés par la relation entre les entreprises et l’administration (à commencer par le Fisc). Inscrivez-vous gratuitement à la Newsletter et accédez à des milliers des mémoires de fin d’études ! Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Six contributions en ligne, E. Brousseau, J-M Glachant (2000), Introduction : Économie des contrats et renouvellements de l’analyse économique, Revue d’économie industrielle, vol. Pour synthétiser l’ensemble du raisonnement de la théorie de transaction et permettre aux dirigeants d’entreprise de choisir entre l’externalisation ou l’internalisation, il est important de faire un lien entre les attributs des transactions et les structures de gouvernance que nous venons de décrire. Le contrat est court et prévoit toutes les éventualités. en fonction de son degré de spécificité. La théorie de l'agence ou dilemme de l'agence [1] est la branche de l'économie qui s'occupe des conséquences du problème principal-agent, en particulier à l'intérieur d'une même unité économique, administration ou entreprise.En tant que telle, elle constitue un domaine à cheval entre l'économie industrielle et la théorie des organisations. O. Williamson (1981) explique que l’organisation hiérarchique (la firme, l’entreprise) est une solution alternative quand elle permet de réduire suffisamment les coûts de transactions sur un marché (les coûts d’information, de négociation et de comportements, dans ces contrats toujours renégociés à très court terme). Enfin, les études sur la gouvernance d’entreprise et la valeur tend à montrer qu’une bonne gouvernance est créatrice de valeur (théorie d’autant plus vraie pour les grandes entreprises). Définie au départ par. Accueil » Théorie des coûts de transaction et des ressources: Faire ou Faire faire? Se distinguant de la théorie de l'agence qui privilégie la notion de conflits d'intérêts, la théorie des coûts de transaction retient la transaction comme unité d'analyse et la spécificité des actifs supports de la transaction, comme concept central (un actif est d'autant plus spécifique que son redéploiement vers un autre usage entraîne une perte de valeur importante), elle explique l'arbitrage entre dettes et capitaux … Bien qu’il n’existe pas de véritable théorie de l’externalisation, deux approches économiques sont particulièrement utiles pour mieux comprendre ce phénomène. 1.2.3.1 Fondements théoriques de la gouvernance d’entreprise. Source : D’après Williamson (1975) O. Williamson a reçu le « Prix de la banque de Suède en mémoire d’Alfred Nobel ». A la différence du contrat classique, le contrat a recours à des clauses de flexibilité et s’appuie sur une tierce partie jouant un rôle d’arbitre en cas de conflit. III.3.La théorie des coûts de transaction et des ressources : Faire ou « faire faire » ? On a la théorie de l'agence, des droits de propriété, des coûts de transaction, et la théorie des conventions. * La faire réaliser par un partenaire avec qui on entretient une relation durable et étroite- structure de gouvernance « Hybride » Dans le cadre d’une stratégie ECR, le choix de l’externalisation logistique est il la solution optimale pour répondre aux besoins de la collaboration « industriels/distributeurs »? O. Williamson (1981) explique que l’organisation hiérarchique (la firme, l’entreprise) est une solution alternative quand elle permet de réduire suffisamment les, ? M. Ghertman (2006), Oliver Williamson et la théorie des coûts de transaction. Notre travail trouve son fondement théorique dans trois principales théories : la théorie d’agence, la théorie des coûts de transaction et la théorie de l’enracinement. à la gouvernance d'entreprise), la logique transactionnelle consiste à identifier, pour chaque partie prenante à la firme (travailleurs, financiers, etc. La difficulté de mesure de la performance : Cet aspect a été introduit tardivement dans la théorie de la transaction. Le lecteur souhaitant approfondir sa connaissance de cette théorie dispose depuis 1994 d'une La firme évolue en adaptant son architecture et ses frontières ; … T. Malone, R. Benjamin, J. Yates (1987), Marchés électroniques et hiérarchies électroniques. La première est liée à la difficulté de prévoir les comportements futurs du fournisseur. Pourquoi existe-il des entreprises et non pas seulement des marchés? Les coûts permettant de déterminer la structure de gouvernance optimale peuvent être divisés en deux catégories : Les coûts de production et les coûts de transaction : Lors de la décision d’externaliser ou de ne pas externaliser, la théorie des coûts de transactions permettra de déterminer la structure de gouvernance optimale en fonction d’un nombre réduits d’attributs de transactions : La spécificité des actifs, l’incertitude, la fréquence et la difficulté de mesure de la performance. Cette recherche présente l’analyse (essentiellement statique) de l’externalisation par la TCT et propose une dynamisation grâce à la notion de coûts de transition. Dans un premier temps, nous définirons chacun des trois modes de gouvernance avant d'analyser les attributs des transactions et d'exposer la méthode de choix des modes de gouvernance pour économiser sur les coûts de transaction. Ce concept a été repris par la suite par Williamson (1975), où la gouvernance est associée à une théorie des coûts de transaction qu’une entreprise se trouve en dilemme pour l’internalisation ou l’externalisation des opérations de sous-traitance. Les modèles de gouvernance d’entreprise s’inspirent essentiellement des théories suivantes : La théorie des coûts de transaction : ‘Les coûts de transaction représentent les dépenses relatives aux transactions que réalisent les agents économiques.’ Cette théorie … En ce qui concerne les coûts de production, une forte spécificité des actifs rend impossible la réalisation d’économies d’échelle par les fournisseurs et les coûts de réalisation de l’activité en interne sont proches de ceux des fournisseurs. Il en résulte alors des coûts de transaction importants, générés notamment par les renégociations périodiques des contrats étant dus à des événements non prévus. La théorie des coûts de transaction repose essentiellement sur l’interaction entre: La rationalité limitée et l’opportunisme des individus dont le niveau dépendra de trois facteurs d’environnement : incertitude, complexité et nombre de fournisseurs. dominant en matière de gouvernance d’entreprise (Zingales, 2000). En continuant sur le site vous acceptez l'utilisation de ce cookie. Il s’agit pourtant d’un élément crucial dans le cadre d’une opération d’externalisation. La relation se fonde essentiellement sur la confiance. Par ailleurs, certains critères de qualité et de performance d’une activité d’entreprise peuvent se révéler difficiles à mesurer. Le débat n’est toujours pas clos : voir l’incontournable numéro spécial de la, réduction des coûts de coordination sur le marché grâce à la connexion généralisée, moins de spécificité des actifs grâce à la globalisation, accès moins biaisé au marché grâce aux comparateurs et systèmes de recommandation, réduction des coûts de distribution physique par le e-Commerce, technologies bancaires décentralisées des «, à l’opposé, d’autres auteurs mettent en avant la réalité des nouvelles, Oliver Williamson (1981), The Economics of Organization, the. 14 Les attributs des transactions, en tant que déterminants des coûts de transaction, sont des éléments essentiels pour l’arbitrage entre les modes de gouvernance. Au-delà de l'interrogation première sur la nature de la firme, une théorie de la firme doit répondre à deux grandes catégories de questions. L'insuffisance de la vision simpliste de l'entreprise dans la théorie économique classique a suscité depuis vingt ans l'émergence de nouvelles théories de l'entreprise (lire Favilla d'hier). Pour que l’opportunisme puisse s’exprimer, la présence d’un petit nombre de fournisseurs est fondamentale. D’une manière générale, il est vrai qu’une société possède une bonne connaissance générale des activités qu’elle réalise en interne. Exemple : spécificité des actifs humains, temporelle ….En effet, plus les actifs utilisés pour réaliser une activité sont spécifiques, plus il est conseillé de réaliser cette activité en interne et inversement Le débat n’est toujours pas clos : voir l’incontournable numéro spécial de la revue Réseaux en 1997 (en accès libre). Rationalité limitée : Les individus sont limités par leurs capacités cognitives dans l’exercice de leur rationalité. Les contrats néoclassiques : Il s’agit de contrat détaillé, utilisés pour gérer des relations interentreprises de long terme. Théorie des coûts de transaction et des ressources: Faire ou Faire faire? Théories et pratiques de la gouvernance d'entreprise Pour les conseils d'administration et les administrateurs Frédéric Parrat (0 avis) Donner votre avis. Voir aussi sur le site IS Theory une liste de références qui utilisent cette théorie en Systèmes d’Information : C. Abecassis (1997), Les coûts de transaction : état de la théorie. E. Brousseau (1992) Coûts de transaction et impact organisationnel des technologies d’information et de communication, Réseaux, vol 10 n° 54. Les coûts de transaction s’assimilent à la somme des coûts engendrés avant le processus de fabrication d'un bien ou la fourniture d'une prestation de service, à laquelle on ajoute les coûts commerciaux. Oliver Williamson (1981), The Economics of Organization, the Transaction Cost Approach, The American Journal of Sociologyy, vol 87 n° 3, R. Coase (1988), La firme, le marché et le droit, Note de lecture des étudiants MIP du Cnam, INCONTOURNABLE sur la question : le numéro spécial de la revue Réseaux n°84, en 1997. Les pratiques de gouvernance d’entreprise sont indissociables du concept même d’entreprise, dès l’instant que ce crée une dissociation entre les parties prenantes, détentrices de droits sur une entreprise, et mandataires sociaux en charge de la gestion de l’entreprise. / La gestion – Comment gérer une opération d’externalisation ? Fortement influencées par le modèle néo-classique, les théories contractuelles en sont parfois considérées comme de simples extensions. L’externalisation avec contrat relationnel : Lorsque la spécificité des actifs et l’incertitude sont élevées, la mise en place d’une opération d’externalisation reste possible en utilisant un « contrat relationnel ». Les contrats classiques : Ces contrats sont utilisés pour gérer des relations simples et bien délimitées. Une approche intégrée. Comme nous l’avons vu auparavant, lorsque le niveau d’incertitude est élevé, la rationalité des individus rend impossible la rédaction de contrat prenant en compte les éventuels aléas du futur. 39,99 € Indisponible Téléchargement immédiat. Ainsi, certaines transactions se déroulant sur le marché peuvent engendrer des coûts de transaction … 1. Le débat est même aujourd’hui renouvelé dans le cadre de la « transformation numérique » (voir les Stratégies de rupture) : Voir les autres théories utilisées dans les stratégies des S.I. L’incertitude : Il existe deux grands types d’incertitude. La théorie des coûts de transaction repose essentiellement sur l’interaction entre: La rationalité limitée et l’opportunisme des individus dont le niveau dépendra de trois facteurs d’environnement : incertitude, complexité et nombre de fournisseurs. Le rôle des technologies d’information, un retour vers la forme du « marché »? 2. ou bien avec les TIC, vers plus d’internalisation ? : Ce type de contrat permet de gérer des situations dans lesquelles deux entreprises sont fortement dépendantes. Ajouter au panier Résumé. associée à celle de relation d'agence, la théorie des coûts de transaction retient la transaction comme unité d'analyse et la spécificité des actifs supports de la transaction, comme concept central. Les coûts de transaction sont faibles et ne nécessitent pas de mettre en place des mécanismes contractuels complexes. Avant de détailler les caractéristiques associées à chaque modèle et d’en étudier les limites, nous présentons dans un premier temps les différents composants d’un système de gouvernance en nous appuyant sur la théorie de l’agence et la théorie des coûts de transaction. O. Williamson a reçu le « Prix de la banque de Suède en mémoire d’Alfred Nobel ». Définie au départ par R. Coase (voir Coase 1988), la « théorie économique de la firme »  présente l’entreprise comme un mode de coordination « administrative » (par internalisation), mode alternatif et dans certaines circonstances plus intéressant que le mode de coordination décentralisée par un système de prix prétendu « optimal » sur le marché (l’externalisation). Néanmoins, une faible incertitude rend les risques de l’externalisation beaucoup plus supportable. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Les deux premières théories montrent que les coûts d’agence et de transaction sont dommageables pour la performance des entreprises. Théorie des droits de propriété TDP: L'objectif de cette théorie est de définir à qui appartient les droits de propriété. Ce caractère limité de la rationalité peut être aggravé lorsque l’environnement est incertain et complexe. En compléments de ces différents éléments nous pouvons ajouter l’atmosphère qui l’influencera le comportement des individus et leur niveau d’opportuniste. En effet, ces derniers ont la possibilité de mutualiser les moyens de production entre leurs différents clients, obtenant ainsi des coûts de production inférieurs à ceux des entreprises intégrées. O. Williamson décrit au final trois formes d’organisation, ou « modes de gouvernance »: En remettant ainsi en cause le dogme d’un marché concurrentiel qui serait « idéal », cette analyse théorique de O. Williamson a eu un impact historique important aux USA pour modifier la jurisprudence anti-trust en la rendant plus souple (voir Ghertman 2006). La spécificité des actifs : Des actifs sont spécifiques lorsqu’ils ont été spécialement développés ou adaptés pour un usage particulier. Mais avec « la firme » apparaissent alors d’autres coûts, les coûts organisationnels de supervision (coûts liés aux « bureaucraties » et à la supervision, dans des contrats à plus long terme avec l’entreprise). La simple présence de nombreux fournisseurs potentiels suffit à se protéger contre l’opportunisme. Quatre paramètres déterminent alors les cas où « la firme » prévaut sur « le marché » : D’un point de vue théorique l’internalisation par la firme a lieu quand la valeur des quatre paramètres est forte, et donc à l’inverse beaucoup d’auteurs se réfèrent à une faible valeur de ces paramètres pour analyser les décisions d’externalisation par le recours au marché : voir Abecassis (1997), voir Bounfour (1999) et voir ce très bon cours de 20 pages sur le site de l’Aunege. gouvernance. Ces formes de gouvernance sont plus complexes, ... M. Ghertman (2006), Oliver Williamson et la théorie des coûts de transaction, Revue française de gestion, n° 160. le lien. L’objectif de cet article est de construire un modèle expliquant le rôle de la gouvernance d’entreprise dans les diversifications des entreprises suite à deux revues de la littérature. On distingue traditionnellement deux branches de la Théorie de l'Agence : la théorie normative ou théorie principal-agent qui propose des mécanismes afin de réduire le coût des conflits liés aux contrats et la Théorie Positive de l'Agence. Par conséquent, plus la mesure de la performance est difficile, et la perte de connaissance est élevé, plus il est recommandé de réaliser une activité en interne. Il met l’accent sur le formel et intervient très peu sur l’aspect relationnel. Pour les coûts de transactions, l’externalisations d’actifs spécifiques implique une dépendance de l’entreprise envers un fournisseur difficilement remplaçable et une renégociation permanente du contrat. Faculté des Sciences Juridiques, Economiques et Sociales de RABAT-SOUISSI. Elles sont soit internes et portent sur l'architecture et le fonctionnement de l'entreprise, soit externes et concernent la place et le rôle de l'entreprise dans l'organisation économique et sociale.Selon * La confier au marché- structure de gouvernance « marché » gouvernance d’entreprise. La meilleure structure de gouvernance est celle qui permettra de minimiser la somme des coûts de production et de transaction. En outre, grâce au contrat relationnel, les coûts de transactions de l’externalisation sont inférieurs à ceux de l’internalisation et une relation durable et étroite est fortement conseillée entre l’entreprise et son prestataire. Voir la carte générale des théories en management des S.I. Ce corpus de l’économie organisationnelle conçoit les entreprises comme des nœuds de contrats et stipule que celles qui survivent à terme sont celles qui s’adaptent. Les controverses en systèmes d’informations, 170 études de cas en Systèmes d’information, Outils de bibliographie et de cartographie, 16 formations et 4 référentiels de compétences en SI, 360 pages Wikipédia sur les Systèmes d’information, Théories des contrats, théorie de l’agence. * Les coûts de production sont les coûts de réalisation de l’activité. Un seul cookie est utilisé sur ce site, pour assurer la navigation. Pourquoi existe-il des entreprises et non pas seulement des marchés? Ceci étant dit, il faut noter que l’incertitude ne génère de problèmes que lorsqu’elle est combinée avec une forte spécificité des actifs. i, la structure de gouvernance la plus appropriée à la transaction requise (activité productive, financement, etc.) Figure I 3 : Logique de la théorie des coûts de transaction Néanmoins, cette connaissance tend à disparaître lors de l’externalisation et du transfert du personnel et des équipements. Par conséquent, la théorie de la ressource permet de pallier ces lacunes. 1. L'encadre 1 ci-dessous expose les fondements de la théorie des coûts de transaction. * Les coûts de transaction sont les coûts de gestion de la structure de gouvernance. Contrairement à la théorie des coûts de transaction qui retient la notion d’actif spécifique dans la relation qui lie les agents entre eux, la TPA fait appel à la notion de connaissance. Grâce à de grands auteurs, nous tenterons de résumer quels sont les grands concepts fondamentaux de ces deux théories et leurs intérêts pour les dirigeants d’entreprises voulant se lancer dans l’externalisation.. La théorie des coûts de transaction15 part du postulat qu’il existe trois façons d’organiser une activité : Même si l’internalisation d’une activité présente moins de risques, elle implique des frais fixes très importants. Elle partage donc avec la théorie des coûts de transactions l’idée qu’une coordination efficace résulte de la combinaison de plusieurs mécanismes contractuels et institutionnels imparfaits. Master Spécialisé : Finance des marchés et d’entreprise. En continuant, vous acceptez la politique de confidentialité. Otto Marie – Odile – Spécialité Logistique, Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. 27, 10: C. Benavent (2017), Réseaux sociaux, une question d’organisation, Prisma.com n°16. III.3.1.La théorie des coûts de transaction Les différentes parties prenantes sont identifiées au sen ic… Une approche intégrée. La théorie des ressources – L’externalisation stratégique, Remerciements de mémoire : exemples de remerciement, L’entreprise : rôle, définition et caractéristiques de PME, Exemples de remerciements travail tfe et rapport de projet, Le déroulement d’une mission d’audit : trois phases, La définition du marché et les caractéristiques du marché, Les objectifs de la gestion des ressources humaines, Caractéristiques du Marketing, le domaine du marketing, L’Internet: Définition, historique et applications, Remerciement rapport de stage et dédicace des rapports. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. EMLYON Business School, grande école de management et commerce propose le programme ESC Lyon, un International MBA, des mastères spécialisés ainsi que le programme grande ecole spécialisé en management sur son campus à Lyon, France. B. Demil , X. Lecocq (2006), Neither market nor hierarchy or network: the emerging bazaar governance,  Organization Studies, vol. Le point de départ de Williamson et de la théorie des coûts de transaction est de postuler que toute transaction économique engendre des coûts préalables à sa réalisation : coûts liés à la recherche d'informations, aux « défaillances du marché », à la prévention de l'opportunisme des autres agents etc. En revanche, elle occulte des thèmes importants pour les managers comme le « cœur de métier » et les facteurs déclencheurs de l’externalisation. Formats : ePub + PDF + Mobi/Kindle Sans DRM QUANTITÉ. Opportunisme : Etablit le fait qu’un individu poursuit son intérêt personnel sans prendre en considération les engagements qu’il a pris auprès de ses partenaires. L’internalisation : Quand la spécificité des actifs, l’incertitude et la fréquence sont élevées, il est recommandé de ne pas externaliser. J. Barthélemy, C. Donada (2007), Décision et gestion de l’externalisation. L'article de Ronald Coase paru en 1937 sous le titre de « The nature of the Firm » est à l'origine de cette expression. C'est grâce aux travaux de Williamson, que la notion de coût de transaction prend toute son ampleur. On porte moins d’intérêt aux documents formels. La fréquence : L’impact de la fréquence sur le choix de la structure de gouvernance est le suivant : Moins une transaction est fréquente, moins il est recommandé de la réaliser en interne. La TPA se consacre à l’analyse des relations au sein des organisations.