Le 16 avril 1984, la ligne 71 est supprimée, les cars Philibert reprennent la desserte en tant que ligne départementale de l'Ain[3]. L'année suivante, le 29 octobre 2007, les lignes 1 et 51 fusionnent et deviennent la ligne C3 reliant les stations Gare Saint-Paul et Vaulx-en-Velin - La Grappinière. Depuis fin décembre 2018, la ligne C9 circule avec des bus articulés. En février 1948, une navette d'autobus complémentaire de la ligne 13 est créée entre Perrache et le cours Bayard[3]. Ils furent remplacés vers 1880 par des tramways exploités principalement par la compagnie des Omnibus et tramways de Lyon (OTL). Le 16 avril 2012, l'arrêt Hôpital Deux Alice, jusqu'alors desservi par la ligne 41 vers Transvaal, est supprimé à la suite de la fermeture de l’hôpital. Le dépôt d'Alsace a la particularité d'accueillir les «Ateliers centraux de surface» (ACS) où sont réparés les pannes les plus lourdes et là où sont effectués les rénovation de mi-vie des bus. Le réseau se compose de 129 lignes régulières, ainsi que de dessertes spéciales, ce compte incluant les neuf lignes de trolleybus, indifférenciées des bus sur la plupart des supports de communication. Le 1er août, la ligne 12 Bis devient la ligne 35 (Bellecour - Vénissieux)[3]. Il définit les conditions générales d'exploitation ainsi que la durée et la fréquence des services. Le 12 mars, report du terminus Vancia de la ligne 59 dans le lotissement Château Bérard[3]. Les autobus articulés Van Hool AG300 de la série 8826 à 8857 ont été livrés entre fin décembre 2000 et fin avril 2000[58]. En janvier 2020, création de la ligne 48 qui relie Genas - Bornicat à l’aéroport Lyon Saint-Exupéry en 30 minutes. Le 2 mai, la ligne 72 dessert le dimanche le parc de Lacroix-Laval[3]. Les véhicules appartiennent à la société Keolis PMr Rhône et sont dans une livrée proche de celle des bus du réseau TCL. En décembre, la ligne 40 est prolongée le vendredi à Quincieux, jour de marché à Neuville[3]. La majorité de ces bus a été déclassée durant l'été 2016. Le 5 septembre 1988, prolongement de la ligne 54 à St-Priest Beauséjour et création d'une antenne Château de l'Île à Feyzin en heures de pointe sur la ligne 60[3]. 5 bus électriques Bluebus SE sont entrés en service progressivement sur la ligne 13 à partir du 1er octobre 2018. Cependant, les tarifs des billets et abonnements dont le montant est limité par décision politique ne couvrent pas les frais réels de transport. Les autobus et trolleybus, ainsi que les funiculaires, métros et tramways de Lyon sont exploités par Keolis Lyon, sous la marque TCL (Transports en commun lyonnais), pour le compte du Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l'agglomération lyonnaise (SYTRAL). Le 3 septembre 2007, le réseau est adapté[3] : les lignes 2, 20, 22, 71 sont déviées par le nouveau site propre au nord de la Gare de Vaise, la ligne 25 est prolongée à Cordeliers, la ligne 28 est limitée à Part-Dieu Vivier-Merle, la ligne 80 est limitée à la Gare de Vénissieux et déviation par la ZI St Fons Nord (Sampaix), création d'une boucle du 87 parcourue dans les deux directions mais dans le même sens pour redesservir la Mairie et l'Église, passage du 96 (en direction de Jean Macé) par le site propre central de l'avenue T. Garnier et la ligne 99 est prolongée à Vieux Lyon. Le plan prévoit les changements suivants, mais ceux-ci ne sont pas encore définitifs et sont soumis à la consultation populaire, Étude sur la conversion en tram ou en trolleybus des lignes de. Ce service fonctionne sur réservation téléphonique et propose une desserte en « porte-à-porte ». La STIB a commandé 110 exemplaires, numérotés 9401-9510 et livrés de 2018 à 2019 ; ils disposent de trois portes. Le 4 janvier 1988, prolongement de la ligne 29 à La Gravière de Beaunant[3]. Deux lignes sont alors mise en service, T1 entre Perrache et IUT-Feyssine et T2 entre Perrache et Porte des Alpes, et le réseau d'autobus est fortement restructuré[3] : Suppression des lignes 26, 26 Campus Express, 39 et 39 Campus Express, retrait des autobus Heuliez GX 187, limitation à Bron Mairie du 9, avec déviations par le quai Augagneur en direction de Bron ou le cours de la Liberté au retour, limitation à Saxe-Gambetta du 23 avec terminus rue Chavant, retour par la grande rue de la Guillotière et passage par la rue M. Berliet dans les deux sens avec transfert des voitures au dépôt des Pins, report du terminus du 24 à Bachut Mairie du 8e, par la rue Brossolette, la mairie, Bron-Libération et l'avenue Mermoz, limitation aux Sept Chemins du 25 en restant sur la route de Genas (la desserte du quartier Krüger étant reprise par le 81) et création d'une antenne Bron F. Mitterrand par l'avenue Brossolette, retour du 32 à l'ancien itinéraire direct par l'avenue Debourg, limitation du 35 à Jean Macé, les lignes 37, 59 et 70 retournent à l'ancien itinéraire par le couloir en contre-sens de la rue des Emeraudes et la place J. Le 23 octobre, application de la deuxième phase du plan de circulation de la ville de Lyon[3] : les lignes 6 (trolleybus), 9, 12, 25, 27, 32, 35, 36 et 38 sont concernées. Le 15 février 1933, les services de la ligne 25 allant au-delà des Sept-Chemins sont exploités en autocars Rochet-Schneider tandis que des services en autobus Schneider HAO ente Cordeliers et Place Henri par le cours de la liberté[3]. Le 18 janvier 1964, la ligne 10 perd ses trolleybus au profit des Saviem SC2 et une ligne 17 est créée entre Bellecour et Le Roule en Berliet PH12/100[3]. (z wyłączeniem wschodniej części) na częstotliwościach 92,0 - 94,4 - 98,7 - 106,3 MHz Odbiornik DAB+ Słuchaj w zachodniej części województwa zachodniopomorskiego - … À la suite des réquisitions imposées par la guerre, certains autobus furent réquisitionnés, ce qui provoqua le retour des tramways et une suppression de certaines lignes[3]. En France seuls les réseaux de Lyon, Limoges et Saint-Étienne exploitent des trolleybus. L'autre terminus "Basses Barolles" devient "Barolles" tout court, suppression de la boucle de Charly du 15, exploitation de tous les services du 39 par Keolis-Lyon (UTA), déviation du 66 par la rue Fauconnet, desserte de la nouvelle Maison d'Arrêt de Corbas par le 94, prolongement dans la ZAC des Gaulnes du ZI2, prolongement du 211 à la ZA de Givors-Ouest, prolongement du 213 au Plateau de Montrond par fusion avec la ligne 212 sous l'indice 213, transformation du 214 en transport à la demande et suppression de la desserte entre Junique et le Cimetière de Givors (tout comme celle de St-Martin-de-Cornas de l'ex-212) et prolongement du 215 à St Genis 2 par Charly et St Genis-Barolles[3]. Le 14 septembre, création de services semi-directs sur la 12 entre les Minguettes et Bellecour[3]. - STADIO - SAN MASSIMO - CROCE BIANCA - BASSON* - BUSSOLENGO* - PESCANTINA* (Solo venerdi' e sabato il servizio prosegue fino alle ore 2.00) * … Ouverture le 26 août de la ligne 39 (Bachut - Bron Parilly) en autobus à un agent Berliet PLR et prolongée à Perrache le 1er octobre[3]. Les arrêts les plus importants disposent d'un distributeur de titre de transport. Il se compose de 11 lignes au départ de la station de métro Gare Centrale. Le 4, la ligne 20 est prolongée au Mont Cindre les dimanches d'étés[3]. Le 1er avril, déviation du 52 par le centre commercial du Carré de Soie[3]. Le 31 août, à la suite de la fermeture de la place L. Pradel et report du terminus du 19 rue de la République et pour les lignes 20, 21 et 22 report du terminus rue de l'Arbre Sec[3]. Le 23 avril la ligne 23 voit la création de services complémentaires en autobus PCR entre Cordelier et Parilly[3]. Quelques exemplaires ont encore roulé la semaine du 7 janvier 2019. La voiture 8393 a été rachetée le 18 janvier 2011 par l’Athénée Royal Bruxelles 20 situé à Laeken. En novembre, les lignes 14 et 15 sont les premières lignes à recevoir des Berliet PH 80 et le 30 novembre création de la ligne 42 (Saint-Just - Demi-Lune ou Ménival) en PLR à agent seul[3]. Le 9 mai, limitation de la ligne Zi1 à la Gare de Vénissieux. Les principaux titres de transport sont les cartes de 1, 5 ou 10 voyages ainsi que la carte d’un jour ou de 3 jours. L'accès au site est protégé par des barrières et des feux de circulation pilotés par une horloge. Le 3 septembre 2018[19] : la ligne 29 est prolongée à Saint Priest - RN6 Ambroise Paré (permettant des correspondances avec les lignes 26 et 1Ex), nouvelle ligne 32 entre Meyzieu ZI et Jons – Hameau de Bianne par la Z.I. La ligne R5 marquera deux nouveaux arrêts, ZA Pesselière et La Palombière. Le 31 août 2009, prolongement jusqu'à Charbonnières Les Verrières du 5 et abandon de la desserte de la Cité des Combattants, la ligne 10 prolongement de l'antenne Champlong, rebaptisé St Genis-Collonges, du 10 jusqu'à l'Hôpital Lyon-Sud par le chemin du Grand Revoyet. La ligne H reprendra du service en 1946 sous le numéro 34, les autres lignes ne furent jamais remise en service[2]. Le 10 octobre, la ligne 33 est partiellement exploitée en autobus[3]. La ligne C9 reprendra l'itinéraire de la ligne C23 sur le cours de la Liberté et le quai Augagneur en passant par le pont de la Guillotière. Dans certains cas, le poteau est remplacé par une borne Visulys équipée d'un cadre pour les horaires. Ancienne série de 20 véhicules numérotés de 8680 à 8699. En 1936, les lignes B, C et D sont supprimées et la ligne d'électrobus H (Hôpital) est créée entre la cité des États-Unis et Grange Blanche par le trajet des lignes C et D, avec les électrobus JW1[3],[2]. La ligne 60 est en site propre sur l'avenue Tony Garnier entre Halle Tony Garnier et Stade de Gerland. Le 17 février, la ligne 38 déviation en direction du cimetière par la rue J. Moulin et le chemin de Crépieux. Le 3 janvier 1972, la ligne 7 dessert le tout premier couloir réservé, rue Victor-Hugo[3]. La ligne 90 sera limitée à l'arrêt Valmy Place Ferber. À l’époque de leur livraison en 1991, exception faite des 25 AG280, le plus jeune autobus standard bruxellois datait de… 1978, tandis que les plus anciens dataient de 1972 ! Les « Accubus Â» seront réformés entre 1948 et 1951[2]. C'est en effet à cette date que le tramway fait son retour à Lyon depuis sa suppression en 1957. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Le 26 avril 1973, mise en place de la première partie du plan de circulation de la ville de Lyon[3] : Les lignes 1 (trolleybus), 2, 6 (trolleybus), 7, 10, 11, 13 (trolleybus), 14, 15, 16, 17, 25, 26, 27, 28, 32, 36, 38 et 41 sont concernées. Le 10 mai, la ligne 96 déviation du 96 par l'avenue T. Garnier entre le stade et l'Institut Pasteur, en direction de Perrache[3]. Le 24 janvier, création des lignes 105 (Bellecour - Perrache - Tassin) et 144 (Bellecour - Perrache - Duchère) renforçant les lignes 5 et 44 par le tunnel sous Fourvière[3]. Le 18 avril 1983, la ligne 60 est prolongée à Feyzin et le 78 est supprimé, le 79 abandonne la desserte[3]. Finalement, la mise en service de la ligne 48 est repoussé à janvier 2020. Le 2 mai, la ligne des cars Philippe desservant Saint-Priest est rachetée et devient la 53 (Place Raspail - Saint Priest)[3]. Le 29 octobre, la ligne 11 est convertie en ligne de trolleybus et le 11 novembre, la ligne 36 est créée entre la Gare de Vaise et la place Tolozan par le tunnel de la Croix-Rousse et exploitée en Renault R4211[3]. Le 1er octobre, création de la Navette 47 entre le parc de la Tête d'Or et le palais de la Foire pour desservir les bureaux de la COURLY[3]. Le 9 septembre 1985, prolongement à Saint-Fons de la ligne 60 jusqu'à la rue A. Thomas[3]. Le 19 janvier 1937, la ligne de tramway 14 est limitée aux Aqueducs de Beaunant, la desserte de Chaponost est reprise en autocars Rochet-Schneider[3]. Le 5 juillet, la ligne 7 desserte assurée les dimanches et fêtes matin jusqu'à Vaulx (M. Cachin)du 7 par le boulevard L. Bonnevay jusqu'à la Cité St Jean. Le réseau TCL comporte plusieurs lignes sous-traités, rattachés à différents transporteurs. Toutefois, parmi les petites différences entre ces 2 séries, il faut noter une puissance accrue du moteur. La STIB profite de ce remplacement pour réorganiser l’attribution des véhicules aux 3 dépôts bus. Le 3 février, limitation du 98 à l'École Centrale et prolongement à la Gare de la Demi-Lune[3]. Le dépôt de la Soie est ouvert le même jour et les lignes 2, 3 (trolleybus), 7, 11 (trolleybus), 16, 27, 37, 51, 52, 56, 57, 64, 67, 81 et 83. le 16 janvier, réassociation de l'itinéraire rue Henri Barbusse sur le C22 grâce à un nouveau couloir de bus et déviation du S11 par les rues Mouillard et de St Cyr en direction Gare de Vaise[3]. Du 19 novembre 2018 au 12 juillet 2019, les lignes 15E et 18 circulent partiellement en raison de travaux d'assainissement sur les communes de Vernaison et Charly. Le 21 novembre, les tramways de la ligne 10 sont limités à Pont d'Oullins, les Berliet GDSL prennent le relais au-delà et, le 5 décembre les lignes 10 et 14 voient leurs tramways définitivement supprimés[3]. Scuola, si torna al 50%. les lignes 73 et 73E sont prolongées à Thurins Mairie, en remplacement de la ligne 10 qui est supprimée[3]. À cela il faut rajouter les véhicules utilisés par les sous-traitants du réseau pour les lignes régulières[21]. Le 1er septembre 2014, le terminus Saint-Genis Gadagne du 17 est reporté à Saint-Genis Lycée Descartes faute de fréquentation, le tronçon abandonné étant desservi par la ligne 78[3]. au lieu de desservir l'aéroport, et ajout d'un nouvel arrêt dans le quartier Ratabizet à Genas. Le réseau a été restructuré dans l'opération Atoubus le 29 août 2011, cette restructuration ayant eu pour objectif de le simplifier et de le hiérarchiser pour le rendre plus lisible et plus efficace. Le 3 avril 1978, la 10/63 devient la 63 et est prolongée au Golf[3]. Les véhicules affectés à la ligne 30 sont inconnus. Le 1er septembre, la ligne de la RSAR entre Lyon et Cours-la-Ville voit son tronçon jusqu'à La Tour-de-Salvagny affrété sous l'indice 86[3]. Le 30 octobre, les services en autobus du 33 disparaissent[3]. Le service est assuré du lundi au vendredi de 6 h 30 à 23 h. Ce service fut créé en mai 1978[47]. Le 2 mai 1978, les lignes A et B du métro sont mises en service. L’hanno avvicinata scoprendo che la donna, una 75enne abitante […] Le réseau est adapté le 5 septembre 1994[3] : Prolongement du 3 à Dardilly Le Jubin en remplacement de l'antenne Dardilly du 19, prolongement du 12E à Minguettes Darnaise et suppression de la desserte de la Polyclinique (reprise par la ligne 93), report des deux terminus du 17 à Jean Macé par l'avenue Jean Jaurès et à Saint Genis (centre) par la route d'Irigny, limitation à l'ancien terminus des États-Unis Viviani du 32, rétablissement de la desserte par le plateau des Minguettes (Thorez et Montchaud) du 36, suppression de la desserte du stade et du collège Picasso à Bron du 52, suppression de la desserte de la ZA Pesselière du 53 (reprise par le 94), report du terminus partiel de Rillieux à La Velette et suppression du détour par la Velette pour les services Sathonay-Camp du 58, déviation du 59 par la ZI de Rillieux les jours ouvrables, création de la ligne 59 express Part-Dieu (Vivier Merle) - Rillieux Semailles par la route de Strasbourg, reprise de l'antenne Château de l'Île par le 60, prolongement partiel du 64 à l'intérieur du Parc du Chêne avec terminus à Bron (Droits de l'homme), suppression du détour par les Hauts de Vassieux du 70, création d'une antenne Val Fontaine du 72, déviation par Caluire-Vassieux (desserte du lycée Cuzin) du 75, Exploitation du 77 sous l'indice 77E, la ligne 80 est supprimée, déviation du 81 par la rue Lionel Terray à Bron-Parilly, exploitation sous l'indice 81 Express "Campus" des services directs pour l'Université Lumière (bâtiment Europe), prolongement du 88 à Herriot et déviation par l'autoroute avec reprise de l'itinéraire du 17, exploitation du 90 sous l'indice 90E, suppression de la desserte de Feyzin du 93 et prolongement à la Gare de Vénissieux par le Grand Chassagnon et la Polyclinique des Minguettes, limitation du 94 à la Gare de Vénissieux, déviation par La Cordière (ex itinéraire du 80) et desserte partielle de la ZA Pesselière (4 services) et passage du 99 par l'avenue Pompidou dans les deux sens. En novembre, déviation du 70 par les Brotteaux[3]. le 15 juillet, report du terminus de départ du 38 de la Part-Dieu devant le Centre Commercial (au point de dépose)[3]. Cette ligne dispose d'un système de priorité aux feux et de trolleybus avec une livrée spécifique et d'arrêts au design spécifique, le réseau est adapté le 16 : la ligne 41 est déviée par l'ancien itinéraire du 47 entre le Pt Churchill RG et la Part-Dieu et la ligne 47 est limitée à Part-Dieu Vivier-Merle. Le 16 avril, création de la ligne 38 (Brotteaux - Grange Blanche via le Tonkin et Grandclément) en Berliet PBR à un agent, la ligne 35 passe en exploitation à un agent le même jour, et la ligne 32 suit le mois suivant[3]. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Mercedes Citaro G les ont remplacés. Ballspielverein Borussia 09 e. V. Dortmund (obecně známá pod zkráceným názvem Borussia Dortmund či BVB nebo BVB 09, německá výslovnost: [boˈʁusi̯a ˈdoɐ̯tʰmuntʰ], v překladu: Dortmundský spolek míčových her Prusko 09) je německý sportovní klub sídlící ve městě Dortmund, ve spolkové zemi Severní Porýní-Vestfálsko. Le 26 août, déplacement du terminus du 69 d'un arrêt dans la boucle terminale de Lyon 3e, celui-ci prenant le nom de la station de tram T4 Manufacture-Montluc, exploitation partielle du 78 par l'UT de Givors, déviation à Rillieux du S8 par l'Hôtel de Ville (abandon de la desserte de la piscine) et prolongement à la Polyclinique de Rillieux dans le quartier de La Roue[3]. Le réseau se compose d’une cinquantaine de lignes[13], dont une circulant exclusivement en soirée, ainsi que plusieurs lignes ne circulant qu'aux heures de pointe. le 4 avril, retour sur le Cours Charlemagne pour le 63 dans le sens nord-sud pour l'ouverture du centre commercial[3]. Les années 2000 : Redéploiement du réseau, Le contrat de gestion 2012-2020 de la STIB, Société des transports intercommunaux de Bruxelles, Société des transports intercommunaux de Bruxelles#Billettique. Ces véhicules ont été soumis à une série de tests de performances techniques tels que la mesures de bruit, de vibration, de rayon de giration, et à une mesure de consommation, réalisée en situation réelle. Le 7 février 1965, la ligne 8 est convertie en ligne d'autobus, exploitée en Saviem SC2 et fusion des lignes 35 et 37 le 1er novembre pour former la ligne 37[3]. Riapertura scuole a Napoli, il piano di Anm: corse rafforzate e autobus privati . Le réseau de bus de Bruxelles est exploité par la STIB et dessert l’ensemble de la Région de Bruxelles-Capitale avec quelques lignes se prolongeant en Flandre.. Bruxelles possède un réseau très vaste et dense de 50 lignes. Le 3 septembre 1979, la ligne 19 est prolongée à l'Hôtel de ville, création du 80 Express le 10 entre Perrache et St-Priest[3]. Le 15 septembre, création des lignes 74 (Demi-Lune - Marcy-l'Étoile) et 75 (Neuville - Saint-Germain ou Curis), cette dernière ne fonctionnant que les jours de marchés[3]. Certains arrêts sont complétés par des bornes d'information donnant le temps d'attente des deux prochains bus, ce système se nomme Visulys. le 29 octobre, déviation des 31 et 43 par la rue Duport par celle de la Navigation au retour[3]. Le 3 septembre, la 8/17, perturbée tout comme les 58 et 71 par l'effondrement mortel d'un immeuble du cours d'Herbouville durant lété, devient la 8[3]. Le 17 septembre, la 29C est remplacée par la N29 entre Ste-Foy Centre et le Plan du Loup[3]. Plus tard, les 8301 à 8330 furent transformées pour les services spéciaux (transports scolaires et autres). Le 1er septembre 2008, création d'une antenne St Romain à la place des partiels Collonges St Martin sur le 43 et création sous l'indice N72 d'une navette reliant le samedi matin Val Fontaine (desserte en boucle) à Craponne Centre pour desservir le marché[3].