Dans les deux cas, il s’agit d’un virus qui transforme les humains en créatures surnaturelles. Mais pas des vampires à la Twilight hein. Bien loin des créatures romantiques et sulfureuses d’une Anne Rice et encore moins d’une Stephenie Meyer, Matheson innove en faisant du vampire, un être scientifiquement explicable contrairement aux classiques du genre qui le cantonnent à un monde occulte et ténébreux « caché derrière le voile opaque de la légende et de la superstition« . Mais à la fin, il s’avère que cette jeune femme est en fait une vampire (connasse). Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. Autant je me suis ennuyée à la lecture du livre… Tu devrais le savoir. Du reste, la violence ne t’est pas étrangère. Le cadre de l'histoire originale a été modifié pour les besoins du film de Lawrence. Et comme j’suis un mec sympa, j’vous indiquerais même quand je spoilerais : – Premièrement, le héros. “Mais ça m’énerve qu’ils aient repris le même titre que ce livre culte pour faire un truc bien différent et bien hollywoodien à la place (et qui est bien mais qui est loin d’être le film de l’année)!” En fait, tout le monde doit lire ce livre. – 1964 : Je suis une légende, film italien avec Vincent Price, titre original L’Ultimo Uomo Della Terra. Le site propose également aux lecteurs de nombreux récits de voyages sur les pas de ceux qui ont fait le mythe du vampire. hahahahahahahaha oui le film a été inspirer du livre mais le but c’était tellement pas qui le film et le livre se resemble . Le livre se termine sur cette phrase, “Je suis une légende”. Jusqu’au dernier chapitre, on ignore tout du dénouement qui évite l’écueil du happy end (rappelant d’ailleurs, dans un autre genre, le dénouement du Parfum et de la fin de Jean Baptiste Grenouille, totalement inattendue). Je vais essayer de vous énumérer la liste des différences, sans trop vous pourrir le livre pour ceux qui voudrait le lire. Bon j’arrive des années après la bataille! Tout le monde connait le film avec Will Smith qui a fait un carton à sa sortie en 2007. C’est inévitable. Mais saviez vous que Je suis une légende est une adaptation d’un roman culte du même nom de Richard Matheson, publié en 1954? J'en suis venu à lire ce livre d'une part parce que j'en avais entendu parlé et d'autre part parce que le film tiré du livre m'avait plu. C’est un livre qui me tentait depuis pas mal de temps. Je suis une légende " est de ceux la. Alors ça fait peut être longtemps que les réalisateurs du film n’ont pas vu d’anglais et d’allemands, mais ils ne me semblent pas réputés pour leur teint basané. Bon ok, j’avoue, moi non plus je le savais pas avant que le film sorte. (Par chance, la fin alternative dans le dvd arrange tout) . J'avais bien aimé le jeune homme la mort et le temps, je ne sais pas si il y a eu une adaptation. Il va donc décider de sauver l’humanité en se sacrifiant pour la femme et l'enfant, qui sont des survivants avec qui il vit, d’où le titre “Je suis une légende”. ». La mésaventure avec ce premier est d’ailleurs assez touchante. « La morale, après tout, avait sombré en même temps que la société. En ayant lu le livre on se rend compte qu’il y d’énormes différences avec le livre. Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Une prouesse dont très peu de productions peuvent se vanter. – 2007 : Je suis une légende, film américain de Francis Lawrence avec Will Smith. J’ai du le lire en 2 jours à tout casser. Perso j ai lu le livre mais bon après avoir vu le film quoi au début j etait sceptique dans l idée qu’ il y allait pas avoir de suspens et ts je commençais à le lire les yeux dans les nuages en gros mais FINALEMENT il s avérerait que c était loin d être ce que je pensais franchement j etait choqué .. le livre est super bien écris l histoire est intéressante il n y a aucune critique a faire la dessus mais j’suis loin d être une adepte du surréalisme donc cst pour cela que je prefere de loin le film qui a mes yeux est plus rationnel ,plus crédible en faite .. la fin est poignante psq dans le chaos on recherchait qlqn qui devait endosser le rôle du dernier survivant et prendre à coeur tout sa et non pas sombrer dans la dépression comme dans le livre psq je trouve sa un peu pathétique mm si je ressens ce véritable côté de l Homme la faiblesse, Pour moi la fin du livre est tout aussi degueulasse…, merci beaucoup grace a toi je connais enfin la fin (j ai perdu le livre), Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Le film est en train de passer à la télé et ça m’exaspère! Voilà une agréable découverte. La structure narrative du roman est pour beaucoup dans l’intérêt que suscite le récit. Précurseur du genre \"apocalyptique\", Matheson préfigurait tout un pan de lunivers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en dérou… Précurseur du genre « apocalyptique », Matheson préfigurait tout un pan de l’univers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en déroute…). A la fin du film, Will Smith va découvrir le vaccin contre le virus. – Troisièmement, et là je crois que c’est le PIRE : ce que la population humaine est devenue. Il nous plonge dans un monde apocalyptique et hostile où les tempêtes de poussière ravagent tout sur leur passage (« à un moment à mi chemin de la veille et du sommeil, il avait cru la maison prisonnière d’une ponceuse géante qui la comprimait et la faisait vibrer du sol au plafond entre ses disques monstrueux« . Si ce court récit peut faire sourire par certains rebondissements et explications pseudo-médicales, il n’en reste pas moins une histoire originale (au moins pour l’époque ! » Je suis une légende Richard MATHESON Titre original : I Am Legend, 1954 Première parution : New York,USA : Gold Medal Books, 1954 Traduction de Claude ELSEN Illustration de Jean-Yves KERVÉVAN DENOËL (Paris, France), coll. Ben oui, c’était plus facile d’expliquer le fait que le héros possède un labo ultra perfectionné dans sa p’tite cave comme ça. On ne le découvrira qu’au fil des chapitres au gré des tâches étranges qu’il effectue la journée : préparer des chapelets de gousses d’ail et de crucifix dont il entoure sa demeure, enlèvement des corps alentours, réparation d’un groupe électrogène apparemment vital pour lui… Ou encore des meurtres qu’ils perpétuent à l’aide de pieux…, Une nouvelle génération de vampires « scientifiquement prouvée » Dans le livre, l’action se déroule entre Janvier 1976 et Janvier 1979 à Los Angeles. Comparaison du livre et du film; je suis une légende ... Tout d’abord, il y a évidemment le thème de la fin de l’espèce humaine présent dans les deux œuvres. Pourtant, chaque nuit de terrifiants phénomènes se produisent autour de son domicile protégé comme une forteresse. Mais ma volonté de me cantonner à la fantasy me l’a fait un peu oublier. Bref, d’la merde. Je suis une légende (I Am Legend) est un film américain d'anticipation post-apocalyptique réalisé par Francis Lawrence, sorti le 14 décembre 2007. +1 également pour la fin. Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. Merci pour cette critique tellement plus objective que tout ce que j’ai pu lire. J'ai pas accroché plus que je ne pensais à Je suis une légende, même si j'ai aimé la réflexion qu'apporte ce livre. Mais, au-delà de cet héritage, Je suis une légende est avant tout un très grand roman d'horreur comme de science-fiction (davantage que de fantastique, justement du fait de la rationalisation du vampirisme — qu'on la juge convaincante ou pas). LiliGalipette 03 avril 2012: Signaler ce contenu Voir la page de la critique. Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l'origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l'âge de 28 ans, l'un de ses romans culte aux côtés de \"L'homme qui rétrécit\", adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant \"La route\" de Cormac Mc Carthy, . Ce parti-pris nous donne un huis clos angoissant et qui permet à l'auditeur de s'identifier au héros. le film est de 2007 !! Qui veut ainsi sa peau et pourquoi ? Le contexte politique de la guerre froide a remis au goût du jour ce style d’ouvrages – et il faut reconnaître à Matheson un indubitable talent. Il pense que c’est une autre survivante donc ils vivent ensemble, et ils commencent même à tomber amoureux. Et surfe sur ce que l’on appelle aujourd’hui la bit’ litt (sans connotation péjorative). Je dis "tiré du livre", mais je devrais dire "inspiré". – Et dernièrement, et là y’a du gros SPOILER puisque je vais parler de la fin du livre. Ce qui devient plus gênant mesdames et messieurs c’est que dans le film, le héro est un grand médecin de l’armée Américaine qui sait parfaitement ce qu’il se passe, qui a un labo dans sa cave (qui n’en a pas un ? Comme dans le film, Robert Neville trouve une femme dehors a peu près au milieu du livre. Diverses explications scientifiques et médicales tenant plus ou moins la route (mais ne nuisant pas à la crédibilité de l’ensemble) émaillent en effet les chapitres. ), efficace, bien ficelée où les effets de suspense sont soigneusement ménagés, non dénuée d’une certaine émotion teintée d’une (très très) légère réflexion métaphysico-existentielle…, « Bientôt tu cesseras d’être un Robinson Crusoé prisonnier d’un ilot de nuit cerné par un océan de mort. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Présence du futur n° 10 Dépôt légal : avril 1990 Roman, 194 pages, catégorie / prix : 2 Aaah Je suis une légende ! Humeurs et autres curiosités littéraires... ©2006 - 2018 - Buzz-litteraire.com. Quelques indications physiques nous sont données (visages cendreux livides) mais il ne s’y attarde pas, préférant les comprendre de l’intérieur, cliniquement parlant. Le film est pas mauvais en soit, mais BORDEL, il aurait été culte si il avait suivi le bouquin. C’est avant tout son héros qui est le centre de l’intrigue, son expérience humaine hors norme : l’histoire d’un homme face au pire cauchemar qui soit : être le dernier homme sur terre après que la race humaine ait été décimée ou tout du moins transformée en créatures assoiffées de sang. Il ne m’en fallait pas plus pour me décider, j’ai donc acheter le livre AVANT que le film sorte. Retrouvez les 3134 critiques et avis pour le film Je suis une légende, réalisé par Francis Lawrence avec Will Smith, Alice Braga, Charlie Tahan. Elle … Intellos-précaires : victimes consentantes ? Folio SF n° 53 Dépôt légal : avril 2001 Réédition Lorsque j'ai découvert qu'en fait le film "Je suis une légende" avec Will Smith était tiré d'un livre, je me suis dis qu'il fallait que je le lise tellement j'avais adoré le film ! Comparaison "je suis une légende" livre et film 18 Janvier 2008, 12:24pm | Publié par Rêve. L’autre jour, je suis tombé sur une fin alternative du film Je suis une légende (I am legend en angliche). Matheson analyse aussi la notion de monstre qui se révèle toute relative (qui est le monstre de l’autre ?, une simple question de point de vue…) et dont il fera l’habile dénouement de son roman. Et ils ont une peur bleue de Robert Neville, qui sort le jour pour les poignarder avec des pieux. L’analyse psychologique prime ici sur les scènes d’action/de combat (on ne coupe néanmoins pas à quelques courses poursuite musclées qui raviront les amateurs !) Bref, rien à voir avec les trucs abrutis du film. Je suis une légende en est une belle illustration. Un terrible virus contamine de nombreuses personnes comme sa famille , sa femme et ses fils , les contaminés deviennent très agressifs et assoiffés de sang et les obligent à se cacher de la lumière du jour. On relève aussi au passage une réflexion sur les livres, symbole du savoir humain également présente dans « La route »: « Tous ces livres songea-t-il, en secouant la tête. LE COMMENTAIRE. Une construction efficace sous forme de puzzle Voila la description qui est faite de Robert Neville dans le livre : “Agé de trente six ans, d’une taille élevée, Neville était un mélange d’ascendance anglaise et germanique. La fin du livre quand a elle est tellement forte qu'elle donne beaucoup a réfléchir. Et encore moins la fin qui est surprenante à souhait. Attention Je suis une Légende reste, pour moi dans le haut du tableau, mérite d’être découvert, mais voilà par certains aspects il a un peu vieilli et surtout le format, même si sur certains points s’avèrent très efficaces, dessert aussi en partie certains autres aspects je … Pris d’assaut par de mystérieux attaquants, il fait l’objet d’une traque sans relâche. Je suis une légende / Richard Matheson « C’est la majorité qui définit la norme, non les individus isolés. Je suis une légende par Richard Matheson aux éditions Gallimard. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Passant de la survie à tout prix à l’abattement, il montre comment un homme lutte contre la tentation de la mort, la solitude et le fonctionnement de cet incroyable instinct de vie (« La vie était donc plus forte que les mots et la la volonté ? Si vous avez aimé le film, vous allez devenir fou en lisant le livre, je vous le garantis. On suit douloureusement l'acharnement de Neville à survivre à la fin de la race humaine et à comprendre les raisons de son extinction. Pour ce qui est du film… J’aurais pu aimer Je suis une légende le film si il ne s’était pas intitulé Je suis une légende en fait. L’histoire du film était simple et efficace : on y voyait le dernier homme en vie après une épidémie qui a décimé tout le monde, essayer de survivre dans un New York tout cassé. Il pense que c’est une autre survivante donc ils vivent ensemble, et ils commencent même à tomber amoureux. Mon Avis: Je Suis une Légende fait parti de ses livres que j’ai lu il y a bien des années durant mon adolescence et qui m’avait, à l’époque, marqué. ». Politique et littérature font-elles vraiment bon ménage ? En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Le manuscrit d'une autre victime de Matzneff censuré en 2004 (Francesca/Ivre du vin perdu), Camus contre Sartre à l'épreuve de la postérité et des ventes et Coronavirus. Mais WTF? J'ai pas accroché plus que je ne pensais à Je suis une légende, même si j'ai aimé la réflexion qu'apporte ce livre. Le héros n’aura de cesse de vouloir faire la lumière sur leur existence et leur apparition. Francis Lawrence, 2007. Le lecteur ne comprend pas immédiatement le contexte, Matheson va lui divulguer les pièces du puzzle au fur et à mesure, aiguisant ainsi sa curiosité. Robert Neville, 36 ans, semble être le seul survivant d’une étrange épidémie qui a frappé l’humanité. Mais j’ai quand même kiffé “Je suis une légende” avec un Will Smith parfait dans le rôle principal … . Autant dire que j’ai dévoré le livre. Je suis une légende (I am Legend) 1957 – 3 – PREMIERE PARTIE JANVIER 1976 ... Il jeta le marteau sur le divan du living-room, alluma une autre cigarette et but un coup. kittymelo Le 15 Mars 2018 à 08:18 Intéressant sans pour autant que l'histoire soit dingue. Ecrit en 1950 il n'a pas prit une ride, ce qui n'est pas le cas de beaucoup livres plus ou moins récent. Le film est bien c’est vrai. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. *** Enfin, pour conclure, à mon grand désespoir de future bibliothécaire, encore cette phrase : Tu donnes vachement envie de lire le livre ! Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Je suis une légende, Richard Matheson Un livre apocalyptique qui se trouve être au final une réflexion sur la société elle-même. Kathy Neville : fille de Robert, elle meurt d’une mystérieuse maladie au début de l’histoire et est incinérée. En fait, les vampires ne sont pas des monstres assoiffé du sang du héros. Les éditeurs publient les auteurs de Twitter et d'Instagram influents et relancent la poésie ! Alors que la fin du livre est juste magnifique, surprenante et donne tout son sens au titre “Je suis une légende”. Je suis donc allé voir Je suis une légende dès sa sortie, après avoir lu le livre du coup, plein d’espoirs, tellement il m’avait plu. Bref, le film a eu tellement de succès qu’une suite avait été annoncée, sans nouvelles à ce jour. pensa-t-il dans un éclair. Enfin ça, c’est pas le plus grave. Livraison gratuite dès 25 € d'achats. Je suis une légende reste parmi mes livres adorés, donc forcément la version avec will smith m'a donné la nausée. Toi aussi, tu as tué. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Science fiction tendance intimiste Dans le livre, c’est des vrais vampires. Mon édition fait 228 pages, c’est donc pas énorme. » +1 également pour la fin. ^Je le répète, si c’est pour faire un truc totalement différent(et même la fin), ils auraient dû ne pas prendre le même titre que le livre et juste dire que le film est inspiré de celui-ci! La fin est tellement forte dans le livre, que ça doit être à mon sens le but de l'adaptation. Alors que la fin du livre est juste magnifique, surprenante et donne tout son sens au titre “Je suis une légende”. « Le tout sans vampires aux yeux injectés de sang menaçant de chastes héroïnes endormies, sans chauves-souris voletant derrière les fenêtres d’un manoir, sans la moindre intervention surnaturelle. Dans le film, on a des pseudos zombies vampires qui savent faire que “Graou” et qui ont l’air très très méchant. Mais bientôt le livre … Malgré tout il esquisse quelques pistes de réflexion plutôt pertinentes. Certain livre vous plaise, d'autre vous passionne, et il y en a qui vous captive." Donc ceux qui voudrait le lire, passez votre chemin. bonne performance de Will Smith, univers effrayant, on ressent bien la solitude du héros dans un New York à l'abandon bluffant de réalisme. Ce qui n’était sans doute pas son but premier plus axé sur l’aventure. Je suis une légende est un livre que l'on se doit de lire tant c'est un chef d'oeuvre de la science-fiction. Ni une, ni de… Parce que sachez le, le film n’a presque rien a voir avec le livre. Je suis une légende, Richard Matheson, Nathalie Serval, Gallimard. Une réussite a tout point de vue ! S’il y avait eu des petites voire moyennes différences qui sont compréhensibles car maintenant est au 21ème siècle (et pas en 1950 et quelques) et car on ne peut pas faire la même chose avec qu’un film qu’avec un livre, j’aurais compris. On suit aussi son évolution, la notion d’horreur à laquelle il finit par s’habituer, à s’adapter avec stupeur : « (…) un monde horrible où le meurtre paraissait plus simple que l’espoir. Les articles présents sur ce site sont soumis au droit d’auteur (article L.122-4 du Code de la propriété intellectuelle). A en faire dégueuler un chiotte. Le film montre un homme en mouvement, ses actions dans l'espace, sa vie quotidienne lorsqu'il parle à son chien ou à des mannequins de magasin, en faisant ses courses virtuelles. Le passé n'est évoqué que par des images de rêve répétitif, en flash-back. Mais là ils ont changé la BASE du livre: donc pourquoi avoir repris exactement le MEME titre que celui-ci!!! Robert Neville se sacrifie après avoir trouvé un vaccin pour sauver tout le monde, pour qu’une pauvre femme et son gosse puissent survivre et l’amener dans une colonie de survivant. Préparez vos kits d’assassin et entrez dans le monde d’Assassin Royal ! Les lecteurs/lectrices ont la cote sur les sites de rencontre... Les auteurs se présentent : Ambre Kalène, auteur de "Incarnata mène l'enquête", Les auteurs se présentent : "La fondation Popa" de Louis-Stéphane Ulysse, La route de Cormac McCarthy, « Marchant sur le monde mort comme des rats tournant sur une roue », La science de la littérature : les effets de la fiction sur notre cerveau, Présentation BUZZ… littéraire : « Les livres, de bouche-à-oreille », « Bel-ami » de Maupassant : « Il avait cueilli sans peine son âme légère de poupée. Qu’il s’agisse du conditionnement médiatique lors des crises sanitaires (ce qui fait écho à la crise actuelle autour de la grippe A/H1N1) jusqu’à l’analogie avec la xénophobie (il compare le rejet des vampires par notre société aux préjugés raciaux « reposant sur le postulat que la peur engendre la haine« ). Et même, osons le terme, un chef-d'œuvre du genre, dont la lecture marque durablement. Dick à Franck Herbert jusqu’à nos jours…, La guerre contre les « couillidés » : de Virginie Despentes à Chloé Delaume et Véronique Ovaldé…, « Grand écrivain » au féminin : la bataille de la visibilité (1/2), Les affres de l’écriture et la figure de l’écrivain vues par le cinéma (et la TV)…, Blondes… MAIS écrivains : De Marilyn Monroe (« Fragments ») à Nelly Arcan (« A ciel ouvert »), « La violence culturelle est une violence sourde, probablement pire que toutes les autres », Le « cauchemar climatisé » du bureau vu par les trentenaires : « Bonjour paresse » de Corinne Maier, « Eloge du miséreux » Mabrouck Rachedi, « Morts de peur : la vie de bureau », « Travail, mode d’emploi »…, "Le couperet" de Donald Westlake : "Les PDG et les actionnaires sont l'ennemi mais ils ne sont pas le problème.". Et c’est à partir de là qu’on commence à tout comprendre. SPOILER : On remarque d’ailleurs qu’il en est plus proche que de la femme qui s’avère perverse et traitresse, on pourra donner les interprétations que l’on veut à cette image de la femme ici donnée… « Le dernier homme sur la terre se trouvait irrémédiablement seul à supporter ses fantasmes. Copyright © 2020 — Made with ♥ and intention by, Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre). Ils sont intelligent, parlent, ont gardés leurs aspect humain, etc. Sorti en 2007, Je suis une légende (I am legend) avait été un énorme succès pour Will Smith et le réalisateur Francis Lawrence. Comparaison "je suis une légende" livre et film 18 Janvier 2008, 12:24pm | Publié par Rêve . Ils auraient pu changer le titre et juste mettre qu’ils s’étaient inspiré du livre! + Lire la suite. Pour les autres : dans le film, on a le droit à une magnifique fin cucul à l’américaine. Il n’y a qu’à voir la programmation récente des cinémas : "2012", "La route", et "Le Livre d’Eli" rien que pour ces dernières semaines…. Signaler: AshySlashy. Parfaitement calibré sur 3 années et avec un art très cinématographique mêlant flash back, ellipses et rencontres inopinées, Matheson sait maintenir le rythme et ménager quelques chutes à suspense pour tenir son lecteur en alerte. L'adversaire d'Emmanuel Carrère, Crime et châtiment... « J’ai fait HEC et je m’en excuse » (F.Noiville), « On vous rappellera… » (S.Talneau), « Je suis morte et je n’ai rien appris » (S.Colleter) : radiographie de l’élite côté campus, Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb : De cadre sup’ à dame pipi, l’enfer des bureaux japonais vue par une jeune belge, « Bonjour paresse » de Corinne Maier : Travailler moins pour vivre plus, Extension du domaine de la lutte par Michel Houellebecq : Contes de de la frustration ordinaire, Do you like your job ? Il évoque aussi ses besoins affectifs à travers deux rencontres avec des vivants : un chien puis une femme. Ce titre avait sombré parmi les la liste des « titres à lire » qui ne cesse de s’agrandir. Là, ils craignent l’ail, ne sortent que la nuit, meurent avec un coup de pieu dans le cœur, tous les codes de la légende des vampires sont là. Je suis une légende (I Am Legend) est un roman de science-fiction de l'auteur américain Richard Matheson paru en 1954 et adapté en 1964, 1971 et 2007 au cinéma. Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. Le film montre un homme en mouvement, ses actions dans l'espace, sa vie quotidienne lorsqu'il parle à son chien ou à des mannequins de magasin, en faisant ses courses virtuelles. On constate d’ailleurs qu’au fur et à mesure qu’il comprend leur nature, il est comme apaisé comme si l’obscurantisme était finalement le pire des maux. Virginia Neville : femme de Robert Neville, elle meurt de la même maladie que sa fille, mais Neville refuse de l’incinérer. Y’a donc une totale inversion des rôles : les vampires deviennent les victimes et Neville devient la “légende” qui fait peur. Par contre, dans le livre, Robert représente une vraie menace aux yeux des vampires. de Charles Guérin Surville : Stratégies de survie d’un VRP de Paris au Mans jusqu’à LA…, Le Diable s’habille en Prada de Lauren Weisberger : "A million girls would kill for this job ! Elle devait se rapprocher de lui pour que les vampires puissent l’enlever. Merci à toi. Etait-ce la nature qui veillait à entretenir l’étincelle en lui, malgré ses écarts de conduite ?« ). Prévenez-moi quand un nouvel article est publié ! Je suis une légende. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction ou téléchargez la version eBook. Je suis une légende " est de ceux la. kittymelo Le 15 Mars 2018 à 08:18 Intéressant sans pour autant que l'histoire soit dingue. Effectivement ils ont changé l’idée principale du livre! Je comprend bien évidemment qu'ils ont du l'adapter, mais c'est bon à savoir. Le malheur du bas d'Inès Bayard : comment écrire le viol sans pathos (jeune auteur rentrée littéraire 2018), Les goûts littéraires de Brigitte Macron : sa passion pour Flaubert, Wattpad : l'usine à histoires au succès statistiquement programmé, Kamel Daoud sur l'écriture en français, langue de "la digression, la dissidence", Interview : l'éditrice de Delphine de Vigan explique son métier d'éditeur (Karina Hocine, éditions JC Lattès), Ecole bienveillante : apprendre à mettre des mots sur ses émotions pour enrayer la violence. Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. JE SUIS UNE LÉGENDE. Contribution le : 20/01/2014 11:10. Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l’origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l’âge de 28 ans, l’un de ses romans culte aux côtés de « L’homme qui rétrécit », adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant « La route » de Cormac Mc Carthy, . Je suis une légende et d'autres livres, articles d'art et de collection similaires disponibles sur AbeBooks.fr. » ; « Comme il est facile d’admettre l’invraisemblable avec un peu d’habitude.«  Pour moi, je suis une légende c'était surtout le film avec Will Smith sortit il y a quelques années, et qui était assez sympathique a voir mais qui manquait un peu de finalité. Je suis une légende Richard MATHESON Titre original : I Am Legend, 1954 Première parution : New York, USA : Gold Medal Books, 1954 Traduction de Nathalie SERVAL Illustration de Gunnar SMOLIANSKY GALLIMARD (Paris, France), coll. Comme vous, il croyait que les vampires ne hantaient que les mythes de l'Europe centrale et la Avec cette fin, “Je suis une légende” raconte donc la “légende” de Robert Neville, ce grand américain qui se sacrifia pour sauver l’humanité. L’auteur parvient à accrocher son lecteur en restituant avec justesse les sentiments qui animent son héros (dans le genre « hard-boiled » -dur à cuir- de roman noir) : peur, angoisse, détresse (arrosée de rasades de whisky jusqu’à en perdre conscience : « Il se mit à boire au goulot, à grandes lampées, plein de haine contre lui-même, subissant comme une punition la brûlure de l’alcool le long de sa gorge« ), colère, haine, folie et parfois rémission, moment d’accalmie (où il en arrive à rire par autodérision). Parce que là quand on a lu le livre:GROSSE DECEPTION! Mais comme j’avais été totalement séduis par les bandes annonces, j’avais fait quelques recherches sur le film et je m’étais vite rendu compte que le livre de Matheson était considéré comme un monument de la science fiction et qu’il était vivement recommandé à tous ses amateurs. Dans le livre, Robert Neville n’a STRICTEMENT aucune notion de médecine (du moins au début), il est perdu et ne comprends pas trop ce qui se passe et pourquoi tout part en quéquette comme ça. Alors que dans le film, on a le droit à un New York des années 2009-2012. D’ailleurs, en ces temps de crise, de nouveau les oeuvres traitant de la fin du monde et de l’écroulement de la civilisation sont à la mode. De la domination des machines : Regard sur la science-fiction de P.K. Je suis une légende est un roman d’une grande qualité littérature et il est devenu au fil des ans un grand classique du genre fantastique. L'objectif de Vampirisme.com est de proposer aux internautes des chroniques sur les biens culturels (livres, films, jeux, spectacles, etc.) Interview Bénédicte Martin (« Quelqu’un quelque part est foutu ») : Interview d'Olivier Adam (2004), recueil de nouvelles "Passer l'hiver", Petite discussion entre écrivains : Quand Frédéric Beigbeder rencontre Nicolas Fargues…, Chuck Palahniuk, entre chaos et rédemption : Portrait et Entretien avec l’auteur de Fight Club, Interview Estelle Durand et Claire Duvivier fondatrices des éditions Asphalte. Bon, vous vous doutez que le film étant vieux de six ans (FFS comme ça passe vite! ), j’suis pas là pour vous parler de ça. » Il y a presque ici une dimension intimiste et d’introspection (rare en SF) certes assez simple mais pas ridicule. Je suis une légende. Mais le pivot de sa réflexion (repris par Mc Carthy dans La route) repose sur le retour à la barbarie, au primitivisme qui guette tout effondrement de civilisation avant de reconstruire « une société nouvelle » : « Etait-ce là leur société nouvelle ? Et ça, c’est dramatique. « Je suis une légende » a été adapté au cinéma à trois reprises : En effet, si le pitch est le même, l'histoire est différente. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. ". », Robert Neville est un américain ordinaire. L’article que j’avais fait était plus véhément mais rejoint bien ta critique. Alors pour ceux qui se souviennent pas de la fin originale, cliquez ici et pour ceux qui projettent de voir le film prochainement, revenez plus tard